Le difficile art du cunnilungus
A en croire les nombreuses lectures sur le sujet, cette caresse bucco-génitale ne semble pas être un art si facile à maîtriser. N'ayant pas d'expérience en tant que donneuse, c'est à vous Messieurs que je m'adresse (et Mesdames aussi pour celles qui aiment embrasser les sexes féminins). Avez-vous vraiment une technique ? Ou bien vous laissez vous guider par votre partenaire ?
Car si un bon cunni me procure inévitablement un orgasme, je dois aussi avouer que j'ai parfois du mal à lâcher prise. Car bien souvent, les premières minutes du cunnilungus sont pour moi une presque "torture" (le mot est un peu fort, je le reconnais).
Quelque soit l'approche que mon tendre choisisse (bisous, caresses sur les cuisses, léchouilles directes...), je passe inévitablement par une phase de chatouilles. Il me faut alors plusieurs minutes de concentration intense pour ne pas rire ou même éloigner la tête de mon partenaire avant de vraiment pouvoir apprécier la venue de sa langue dans mon intimité.
De nombreux sites ont beau proposer leurs astuces pour un cunni parfait, je n'ai pas encore réussi à supprimer ces désagréments. Et pourtant, une fois ce stade passé, que de plaisirs ! Surtout quand le bon endroit est trouvé (pour ma part en titillant vraiment le gland du clitoris) et le bon rythme préservé (un changement de rythme et tout est à recommencer).
« Un baiser plus bas, plus bas que le sein. […] Tu sais bien que je n'oublie pas les petites visites ; tu sais bien, la petite forêt noire. Je lui donne mille baisers et j'attends avec impatience le moment d'y être. »
Napoléon Bonaparte