Souvenir de vacances
De retour de cette pause estivale, je me voyais vous conter de merveilleux souvenirs : comment je m'étais délectée des bains de minuit avec mon homme, comment j'avais pris plaisir à m'exhiber à moitié nue dans les vignobles vauclusiens, ou prenant des positions érotiques au bord des fontaines de village, comment je m'étais envoyée en l'air en pleine nature... mais rien de tout cela. Les vacances 2013 me laissent un goût amer.
Les aléas des vacances dans la maison de famille me direz-vous, entourée d'enfants, de grands parents et de visiteurs en tout genre. Sans doute.
Les occasions auraient pu se créer pourtant. Mais je n'ai visiblement pas trouvé les mots suffisant pour convaincre l'homme de ma vie de m'accompagner dans mes fantaisies. Je me suis donc contentée d'un lit pourri de caravane (lorsque, oh miracle, les enfants nous en laissaient l'opportunité) alors que dehors, les joies de la nature m'appellaient.
Mon seul vrai plaisir durant ces quelques jours, aura été de rendre fou mon mari... avec ma langue. Allant, venant autour de son membre, me délectant du moindre centimètre de ses chairs, j'ai pris un pied incommensurable à le sucer. A ces hommes qui pensent que la femme est soumise lorsqu'elle vous lèche, je le crie bien haut et fort : VOUS êtes soumis par la fellation, Messieurs ! Et quel ravissement que de voir l'homme perdre tous ses moyens par ces quelques jeux de langue.
Cette savoureuse domination ne me quittait plus. L'envie de le gâter en tout lieu me rongeait. J'aurais même tenté une formidable apnée si (encore une fois) les enfants n'avaient pas traîné dans les parages !
Furtivement bon.